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  • Perso : Prologue & Chapitre 1

     

    Coucou !!! Comme promis  cette semaine, une nouvelle histoire, (le début ^^)  en l'absence des chapitres de VRS 2. Bonne lecture ;)

     

    Amheliie

     

     

     

     

     

     

    Prologue

     

     

     

    Rien n'a changer, mais pourtant tout est différent.

     




    Je ne sais pas ce qui m'a réveillé cette nuit-là, mais le sommeil m'avait quitter depuis bien longtemps quand je me décide à descendre de ma chambre pour gagner les bords de la plage.

    Alors que mes pieds touchent le sable encore chaud. Le soleil tape ses derniers temps. J'entends le bruit des vagues, et je cherche déjà une raison à tout cela.

    Le poids des remords aurait- il gagner du terrain ? La boite dans lesquelles j'avais fait en sorte que tout soit verrouiller dedans s'était- elle miraculeusement ouverte ? Ou est-ce cette nuit de mi- juillet où la canicule nous envahissez ? La chaleur de l'été serait une très bonne excuse pour ma disparition tardive.

    Les jeunes de mon âge (j'ai quand même dix-neuf ans) sont censées s'entendre dans leur lit peu de temps avant de rejoindre les bras de ce bon cher et vieil ami Morphée. Ma mère me dit souvent, que nous, les adolescents, (même si depuis le temps, je n'en suis plus vraiment une, le fil du temps, moi non plus ne m'a pas oublié) le besoin de dormir est tellement important, (d'après son magazine de mode) et ceci, dut aux hormones, mais bon, je passe sur le côté biologie, la science et tout le tra la la, non merci, que les insomnies sont rare. Mis à part les geeks, mais ça aussi, c'est une autre histoire.

    Apparemment, je contredis tout ses bla bla de bonnes femmes, je ne suis pas une geek et pourtant, ce soir je ne dors pas.

    Je referme autour de mon corps mon petit gilet, je sens le vent à travers mon grand T-shirt et mon caleçon. La brise et chaude, mais elle m'arrache quand même des frissons. Et puis, il vaut mieux que j'évite d'attraper la crève. Je me pose dans le sable, et mon regard se perd à l'horizon.

    Cette nuit, la lune est basse. Son reflet rond baignerait presque dans l'eau noire. Je serais presque tenté d'aller la rejoindre, histoire de me changer les idées. Mais je reste bloquer sur le mouvement des vagues qui la déforme. Je suis spéciale pour aimer ça. Aimer un paysage qu'on ne pourra pas prendre en photo, que seuls nos yeux sont permis de voir. Quoi de plus beau qu'une nuit chaude d'été, le ciel dégagé, parsemé d'étoiles... Il m'en faut peu depuis tout cela. J'apprécie la moindre petite chose que m'offre la vie, je ne suis plus difficile...

    A qui la faute ? La mienne ? La sienne ? La notre ? Le destin ? Ou moi qui ne pouvais simplement pas... Qu'est- ce qui a fait que nous en sommes arrivés là lui et moi ?

    C'était mal de vouloir connaître tout ce que j'ai connus ? Mal d'avoir profiter d'un moment de la vie... Mal d'avoir voulut être avec lui... Ou mal d'avoir voulut le rejeter... ou même plus simplement, mal d'avoir voulut éviter tous ça, pour le protéger, lui de moi.

    Plus j'y repense, même si je ne devrais pas, plus je me dis, que tout ceci devait se terminer comme ça. Il n'y a que dans les contes de fée qui finissent par un happy end et ect... De toute façon, ma vie n'est pas un happy end, loin de là. La vraie vie, malheureusement pour moi, ne sort pas de belles histoires...

    Et je souris, malgré tout, car au plus profond de mon être, je me dis, que ça valait le coup, que notre histoire, fait partie des belles histoires.

    Faisait partie des belles histoires...

    J'ai tout gâché, je le sais, même si j'essaie de toutes mes forces de dire et de penser le contraire, je sais que tout est de ma faute.

    Souvent quand mon esprit divague et que mes souvenirs s'évadent, j'ai l'impression que je revis chaque instants, comme si rien ne s'était encore passé. Je revois toutes les images, comme un film au cinéma. J'ai tellement l'impression que la fin n'était que pour demain...

    Et pourtant, ce soir ça ne fait qu'un an.

    Qu'un an que j'ai quitté ce qui pourrait être une résistance, ma résistance, notre résistance.

    Un an que nos chemins se sont quitté, un an que nos vies se sont séparées, et pourtant...

    J'entends encore le son de sa voix, je sens encore sa chaleur et le poids de son regard. Et pourtant, il n'est plus là...

    Et je sais que c'est de ma faute.

    Mon cœur se sert en y pensant, comme à chaque fois. On s'y habitue à la douleur après quelque temps, il faut juste le laisser passer. Il devient ensuite un compagnon fidèle. Un habitué. On apprend à vivre avec, et on oublie ce que c'était avant.

    On s'habitue aux pincements, aux monter de larmes quand un objet, une chanson, une phrase nous le rappel. On apprend aussi à chercher un coin dans sa tête et à l'y enfermer. On apprend juste à trouver des solutions pour s'aider à vivre mieux, et supporter la chose plus facilement...

    Des histoires d'adolescents... de jeunes adultes... Je souris, à nouveau en entendant la phrase de ma mère... Si tu le dis maman, si tu le dis... Pense ce que tu veux, à ce qui t'aide le mieux. Ce qui te fait le moins honte.

    Si le faite de tout me mettre sur le dos te soulage, je suis prête à l'accepter, je l'ai accepté venant de sa part... J'accepte tout maintenant.

    Mais si tu savais comme elles sont belles les histoires d'adolescents... J'ai mis du temps à m'en rendre compte, peut être étais-je trop énervé contre-lui. Contre-moi, contre tout. Mais comment gérer une histoire quand on a peine 18 ans ? C'est impossible... Dans mon cas, c'était impossible...

    Je me laisse glisser dans le sable, j'adore ça. La chaleur qui m'enveloppe me rappelle tellement ses bras. On crée tous un manque à quelqu'un. En tout cas, il me manque-moi.

    Je ne apitoie pas sur mon sort, jamais je ne ferais ça, je constate, j'y repense. Je sais ce que me réserve l'avenir maintenant, chaque année, une « insomnie », et chaque années, un nouveau film de nos souvenirs...  du moins pour les prochaines années qui me restent à vivre.

    Ai-je été égoiste? Ou est-ce bien lui ? Sommes-nous tous les deux responsables de la fin de notre histoire... A qui est-ce la faute ? La mienne, je n'ai pas de doute à ce sujet.

    Et combien de temps dure, ce que nombreuse de personnes peuvent appeler un chagrin d'amour ? Mettrais-je longtemps à oublier tout ça, ou devrais-je continuais à vivre que ça ? Qui a dit que vivre la boule au ventre, et la colère était quelques choses de tolérable ? Aimer et souffrir vont ensemble ? Nous ne pouvons pas avoir l'un sans l'autre apparemment...

    Comment je peux dormir avec toutes ses pensées dans ma tête. Ce n'est tout bonnement pas possible. Encore une chose que je me prive pour lui, par sa faute... Je soupire, j'en arrive encore, même après un an d'absence, à lui en vouloir, ou peut être que c'est à moi-même que j'en veux. C'est certainement ça... 'est à moi même que j'en veux. La stupidité me gagne... M'a-t'elle vraiment quitter en fin de compte ? Voila que je deviens aigri. A qui la faute ?

    Je ferme les yeux, et je me laisse porter par le son des vagues, quelques minutes me suffisent pour m'énerver. Contre-lui, contre tout. De toute façon, je suis énervé contre la terre entière, il n'y a pas une seconde où je ne suis pas énervé contre quelqu'un ou même quelques choses... A qui la faute ? C'est drôle comme un petit rien peu nous changer...

    IL n'était pas un petit rien...

    Il était tout.

    Et pourtant, alors que je crie haut et fort que je n'attends plus rien, venant de lui ou bien venant des autres... j'attends, et j'espère.

    Au bout du compte, je ne sais pas qui de nous deux à gagner dans notre jeu.





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    Chapitre 1

     

     

    Nous ne faisons pas de nouvelles rencontre

    par accident, elles sont destinées

    à croiser notre chemin pour une raison

     

    J' étais tombé amoureuse de lui ou du simple faite de l'amour ? C'est venu petit à petit... En fait, je ne sais pas. L'idée même de pouvoir aimé un jour, à cette époque me paraissait bien loin. L'amour pour moi n'était qu'un rêve de petite fille, rien de magique, rien d'extraordinaire... Rien. Pour moi, l'amour ce n'était rien. Un sentiment pour les faibles. Un acte par besoin, les hormones, la vie, le faite que c'est un pas que nous devons tous franchir un jour où l'autre... Un passage. Une nouvelle étape, rien d'important et certainement pas important pour moi. Un accident, une perte de contrôle, un acte commis par des consentants comme par des fous.

    Voila à quoi ce résumé l'amour dans mon cas. A rien.

    En ces temps là. Je ne me respecter pas. On ne m'avais pas respecté, pourquoi j'aurais crut normal de le faire pour moi ? Au final, je m'étais habitué à être comme ça, et je ne changerais pas. L'amure que je m'étais construite me convenait parfaitement.

    Elle conviendrait à n'importe qui dans mon cas. C'est un côté rassurant, attendrissant. Un côté qui ne rassure que moi... Mais qui effraie les autres et c'est tant mieux pour ça.

    J'ai sur moi, chaque jour, des regards lourds. Comme si que tout le monde ignorait le pourquoi de tout ça. Sauf qu'ils savent tous, et qu'ils se taisent dans le silence, c'est mal. Mal d'en parler. Donc l'ignorance est préférable quand on aborde notre cas.

    Qu'il ignore comme moi, je peux l'ignorer, je me fiche de tout ça désormais. Je me fous de tout à vrai dire. Et encore plus du regard des autres... ou même de moi. Surtout après...

    J'enfile mes lunettes de soleil sur mon nez. Même si les regards vont persistais, je pourrais faire semblant de ne plus les voir. Malgré mon sérieux problème de manfoutisme, je remarque que pour une journée de mai, le temps est plutôt agréable, et j'apprécierai presque que ma meilleure amie m'est sortie de mon lit aussi tôt.

    Je fixe l'horizon de la mer sur le ponton. Elle ne change pas au fils des saisons. Bastien, lui dirait le contraire, il est du genre à croire au changement.

    « Tout change, les gens changent, la nature change et un jour tu changeras aussi » répète il sans cesse.

    Donc d'après mon meilleur ami, tout changerait. Si je pars dans son sens, même Ambre devrait changer... Comme d'habitude, elle est en retard, à force, je devrais commencer à être habitué.

    Sauf que je n'ai pas de patience, du moins, je n'en ai plus. Pourquoi en avoir avec les autres quand on en a pas pour soit ?

    A qui la faute ?!

    Je ferme ma veste noire, j'ai du mal à supporter la légère brise. Je suis du genre frileuse... et j'ai froid, et cela ne va pas s'arranger. Puis, apparemment, il faudrait que je « prenne » soin de moi m'a t 'on dit ! Foutaise ! Qu'est ce que je m'en moque de moi !

    Je suis aussi le genre de fille qui ne se prend pas la tête avec les fringues. Je lève les yeux au ciel quand j'aperçois, ce que je pourrais appeler de fille à papa devant l'entrée du cinéma. Lieu, dans lequel, j'ai aussi, rendez-vous avec ma meilleure amie et... Je ne sais pas qui est l'heureux élu cette fois ci...

    Misère, elle m'aura tout fait...

    Je dévisage à travers mes verres foncés, les deux traînés qui font de même avec moi. Elles ont un problème ? Parce que moi, je peux facilement le réglé !!

    Je détourne le regard, je dois arrêter de m'énerver pour un rien. Je dois commencer à contrôler ma colère...

    Le monde entier n'y est pour rien dans cet événement... hein Mel ? Tu le sais en plus !

    Je dois apprendre à gérés. Telles sont les bases apparemment pour vivre avec... Je cherche à travers mes poches un paquet de chewing-gums, je suis une accrocs à cette merde mentholés. Toujours mieux, ça que la nicotine ou l'ectasie... ou les médocs...

    Je soupire, je n'ai rien sur moi et je ne cherche pas dans mon sac, je ne dois pas en avoir non plus. L'impatience me gagne. Bordel, c'est compliquer d'être à l'heure !!

    -Mel !

    Je me retourne. Voilà enfin ! J'adresse mon plus beau sourire à ma meilleure amie, Ambre. Elle me sert dans ses bras et je tressaillis.

    -Désolé...

    Pas grave, pas grave... ce n'est qu'Ambre, elle t'a juste serré dans ses bras, amical, geste fraternel, c'est ta meilleure amie, elle a le droit, elle ne te fera pas de mal...

    Je me répète toutes ses phrases en boucles dans ma tête pour m'empêcher toute crise. Toutes celles que j'ai mises en place avec ma psychologue. Je dois apprendre à vivre avec. Avec le temps, ça passera... Je prends sur moi, et serre de nouveau ma meilleure amie dans mes bras, elle paraît soulagé. Depuis combien de temps, je ne lui est pas adressé un geste d'affection ? Depuis que je suis sortie de ce que ma psy appelait dépression.

    -Je suis contente que tu sois venu Mel

    -Je n'avais pas le choix non ? Je tente de plaisanter

    Ambre me souris, elle passe son temps à sourire... comme moi à une époque.

    -Pas tellement.

    Ambre me libère la vue  et je cherche son prochain prétendant. Je m'attends au pire... le mois dernier, c'était un grand blond aux yeux verts.. sportifs,un corps d'athlète.. Et le cuit de moineau qui va avec. Son mot préféré ? Moi moi et encore moi. Encore un qui devait avoir les chevilles aussi grosses que des balles de tennis.

    Et le mois d'avant ? Un étranger, venant de... je ne sais plus où.. Il parlait sans arrêt de notre pays... des moyens de pouvoir y vivre définitivement... un escroc...

    Alors ce mois ci... j'aurais peut-être droit à un drap queen ? Ou bien à un gay refoulé ? Ambre à le chic pour se les dénicher !

    -Mel, je te présente David....

    D'accord. Je retire mes lunettes de soleil pour mieux l'examiner. Je sais, c'est bizarre. Rencart avec sa meilleure amie quand elle même avait un rencart avec son rencart... louche les amies ?

    Non, bienveillante et super protectrice... J'aime ma folle autant que l'homme de ma vie. Donc, comme dit le dicton sur les cartes postales qu'on reçoit des vétérinaires, on les aime on les protège. J'aime, je protège.

    Ambre, je l'a « protège » moins que mon meilleur ami. Je l'a laisse faire ses propres erreurs, comme elle m'a laissé faire les miennes. Depuis le temps qu'on se connaît, si on devait faire les comptes, celle qui en a le plus fait c'est bien la grande brune super bien foutue de dix neuf ans qu'est ma meilleure amie.

    Revenons à ce David. Le mec de base... je dirais même...

    Putain...

    Encore un sportif ! Ses baskets Nike le prouvent. Bordel, il ne connaît pas Adidas ? Ou Puma ? Gros c****, c'est à cause de gens comme ça que le marché français coule... Vouloir toujours des marques étrangères...

    Son T-shirt avec le logo d'une équipe de football le prouve...

    Joueur en plus... Traduction, je devrais me taper des matchs... Pas que je n'aime pas ça... j'aimais ça avant. Maintenant, trop de monde, trop de bruit... trop de tout... tous sauf du rassurant pour moi.

    David doit avoir au grand maximum vingt ans. Je mettrais ma main à couper qu'il deviendra l'un des futurs plan... Q de la longue liste d'Ambre. C'est un grand brun aux cheveux châtains. Ses yeux... je fronce les sourcils pour observer leur couleur, marron, voir noir, je ne vois pas très bien.

    Dans l'ensemble, c'est un bel homme, faudrait attendre de voir quand il ouvrira la bouche pour voir si'il confirme le proverbe soit beau et tais toi.

    -Et voici Benjamin

    Ambre se penche à mon oreille et je sens le coup foireux arriver.

    -Il est beau hein ? Ça ne te dérange pas qu'ils se joignent à nous ?

    Je serre les dents, j'ai compris ce qu'elle veut... Je lance un regard digne d'une mitrailleuse vers sa direction. Combien de fois, je devrais lui dire que je ne veux pas d'homme dans ma vie. OK, j'ai dix neuf ans, je dois « m'amuser » mais je n'en ai pas forcément envie... non, surtout, je ne veux pas d'un mec sans mes basques... L'amour pas pour moi.

    J'observe attentivement le meilleur ami du gigoto qui se fringue en marque. Lui aussi sportif, plutôt très bien et... Je me fige quand je vois ses yeux... il est...

    -Beau ? Mais je te le laisse... il n'est pas forcément content de se taper le rôle de la chandelle...

    -Alors tu t'es dit que c'était mieux on... Amb !

    Ambre me saisit le bras et m'entraîne quelques mètres plus loin.

    -Mel...

    -Non, je ne sortirai pas avec !

    Ma voix est tranchante, nous avons déjà eu cette conversation. PAS DE MEC !! DU MOINS RIEN DE SERIEUX...

    -Je n'aime pas te savoir bloquer sur cette situation...

    -Je n'aime pas forcément non plus...

    Je sens une lueur brillait chez elle... Non ma grande, non c'est non !! Si demain je dois avoir un « mec » se sera juste pour m'amuser et pour le sexe. Point barre.

    -Alors change et profite

    -Profiter oui, m'engager non !

    J'entends Ambre soupirait... Je sais, je suis désespérante !

    -Je m'avoue vaincu...

    Très bien, elle craque de plus en plus facilement ! Tant mieux !

    -Et puis, on est venu pour toi, pas pour moi, alors...

    Je saisis son poignet et nous repartons en direction des deux garçons. Son David à sorti une cloque qu'il fume...

    Sale faible, fumer, c'est pour les faibles...

    -Je suis d'accord avec toi

    Je sursaute. Hein ? Je crois que j'ai parlé à voix haute

    Benjamin est à côté de moi. Je suis près de lui et je me sens... mal. Je ne laisse presque aucun homme qui me soit inconnu m'approchait. Sinon, je le vis mal et je me sens mal... comme là...

    Je respire et tente de calmer mon cœur qui fait une embardé.

    -Enchanté Mel... ?

    Je remarque qu'il me tend la main... Ah je suis censé la saisir...

    Recommence à avoir des contacts physiques avec des personnes du sexe opposés au tien... je les déteste tous !

    Je soupirais presque en repensant aux mots de mon psy. J'ai des contacts avec les hommes... des contacts... pas ceux qu'il espérait lui...

    Je lui serre sa main et je ressens toute sa force.

    -Mélissa

    -Très jolie

    Je ne lui réponds pas, la première était une forme de politesse, là...

    -Bon on y va ?

    Ambre part se coller à son nouveau futur plan cul et moi... je lance un rapide coup d'œil à Benjamin, il m'observe et je n'aime pas ça...

    Pourtant, je me surprends à apprécier son regard au fur à mesure de mes pas...

    J'ai le cœur qui bat toujours la chamade quand nous arrivons à l'entrée du cinéma.

    Je crains d'être aussi proche d'un homme qui met inconnue... mais pourtant...

    Pourtant ce léger contact m'a suffi à éveiller quelques choses en moi. Un quelque chose dont j'ignore la définition. Ou que je cherche tout simplement à ignorait...

     Amheliie

  • Vacances !

    Coucou tout le monde !

     

    Cela ne vous a pas echappé, c'est l'étè et les vacances scolaires, enfin ! Je pars donc pour quinze jours (au moins) en vacances, il n'y auras donc pas de chap T et Sonny, ni Prends moi, ni Jared durant mes vacances.

    Am reste donc si elle est motivée (mais oui !) elle vous livrera quelques chaps et sa nouvelle histoire qui est juste genial et dont j'attend la suite avec impatience !

    Je vous dis a dans quinze jours en super forme aprés cette pause bien merité

    Voilà on vous souhaite de bonnes vacances, amusez vous bien et profitez !

     

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    Amhéliie, Maryrhage