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Road (M/M)

  • Extrait - Road (Romance M/M)

     

     

    Coucou tout le monde ! ^^
    Comme promis, voici un extrait ! Et un extrait olé olé ce soir ;) 
    On vous glisse un passage de notre futur M/M "Road" qui sortira en novembre.
    On espère que ça vous plaira ! ^^ N'hésitez pas à commenter ou à partager :) 
    La semaine prochaine on revient avec des publications plus assidues sur le blog (désolée on a été submergé par les relectures durant deux semaines c'était short ^^).
    Voili voulou ^^
    Bonne lecture
    Pleins de bisous :* 

    Am & Mary

     

     

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    (passage non corrigé) (scène de sexe explicite)

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    — OH BORDEL DE MERDE !

    Je serre les poings en vidant l’air accumulé dans mes poumons d’un seul coup. Des vagues de chaleurs intenses naissent dans mon corps. J’essaie de me redresser sur mes coudes pour admirer le spectacle. Et quel spectacle ! Travis s’active entre mes jambes, sa bouche emprisonne divinement bien ma queue. Sa langue vient me lécher de bas en haut, accompagnant les mouvements de sa main qui me masturbe avec une lenteur criminel.
    Bon sang, c’est bon, beaucoup trop bon pour mon cœur de pauvre homme fatigué par sa journée. Je ne vais pas tenir une éternité à ce petit jeu.
    Je le maudis lorsque sa langue vient titiller le bout de mo gland, je sens déjà son sourire satisfait de me la faire fermer. Qu’est-ce que je pourrais dire de toute façon, mis à part « continue » !
    Mes réactions ne manquent pas d’arriver au cerveau plus qu’intelligent de Travis, qui laisse courir sur son souffle chaud sur mon sexe sensible :

    — On fait moins le malin ?

    Sale con.
    Le paquet de nerf que je suis arrive à détendre son visage et à sourire, et tenter de le narguer en répondant sur le même ton :

    — Rappelle-moi de te rendre jaloux encore et encore… oh (je mords ma lèvre en gémissant)… sur CE PUTAIN DE TRAJET !

    Mes doigts viennent s’agripper aux cheveux bruns lorsqu’il reprend son manège. Mes jambes s’écartent d’elle-même lorsque mon chauffeur accentue cette langoureuse caresse. Il engloutit mon sexe sans préavis, et commence à me sucer de bon cœur. Travis ne me ménage pas, il m’emprisonne dans sa bouche humide et si accueillante, faisant déraper sa langue sur les parties les plus sensibles de mon anatomie, les taquinant toujours au bon moment. C’est dingue, j’en ai la tête qui tourne sous ces vagues intenses.
    Je me concentre sur la rationalisation pour ne pas jouir au fond de sa gorge tentatrice, sous ces caresses dignes des pires tortures pour un homme. Travis est le sexe incarné, un putain de bon coup qui vous baise sans se restreindre et aime vous poussez à bout. C’est ce qu’il est exactement en train de faire. Et malgré nos apparences, malgré ma tête de beau gosse voyou et de son apparence si banale mais incroyablement excitante, je ne m’oppose nullement à tout ça. Bien au contraire, j’en veux plus. J’en veux toujours plus. Parce que chaque petit bout qu’il me donne de lui, que ce soit dans un pieu ou ailleurs, est un bout que je n’ignorerais plus.
    Sa langue recommence à lécher le bout de ma queue comme on lècherait une glace Hagen Dasz, je tire sur ces cheveux, je vais craquer s’il ne s’arrête pas immédiatement.
    Tout ça c’est sa faute si je suis une boule de nerfs exciter comme jamais.
    Mon amant semble le comprendre et met fin brutalement à ce pur moment de délice. Je ne me retiens pas de grogner mon mécontentement, ce qui a l’air d’amusé mon chauffeur et son sourire « fier de lui ».
    Avant que je n’ai le temps de percuté ou de dire quoi que ce soit, Travis me retourne sur le ventre, et vient se glisser derrière moi. Je me redresse, lui présentant sans honte et sans gêne ce qui l’intéresse. Je sens sa bouche déposer une pluie de baisers le long de ma colonne vertébrale. J’entends à peine le bruit du bouchon de lubrifiant, et de l’emballage du préservatif qu’il déchire, je suis trop perdu dans les sensations que je ressens à cet instant. Le contact chaud de son corps contre le mien, l’excitation qui me tord le ventre et envoie des décharges de plaisir dans mon sexe qu’on a torturé de la meilleur façon qui soit.

    — Bordel…

    — C’est ce que je disais, tu fais moins le malin Mack.

    Ses doigts humides viennent se glisser en moi, la sensation est divine. Le sentir me préparer à le recevoir, sentir ces doigts aller et venir, préparant le terrain pour la suite. Le meilleur. Je ferme les yeux et savoure chaque putain de secondes que ce manège dure. Cette caresse intérieure qui ne manque pas d’alimenter un peu plus, le feu que Travis à fait naitre en moi. Rien à faire de paraitre pour un con qui n’a aucune résistance, ce n’est pas être une mauviette de se laisser aller avec un amant, bien au contraire, c’est un signe d’intelligence et je serais vraiment con d’essayer de le faire galérer pour m’avoir. Le résultat en vaut tellement la peine !
    Ma respiration devient saccadé lorsque trois de ses doigts m’empalent. Je remue moi-même des hanches pour obtenir plus. J’ai besoin de plus.

    — Qu’est-ce que t’attends ? Je lui lance en gémissant.

    Les doigts de Travis continuent leur manège, ma queue me ferait presque mal tant elle est au bord de l’explosion. Ce qui brule en moi est dingue et j’aurais presque envie d’hurler sur mon chauffeur pour qu’il assouvisse rapidement ce qui a déclencher dans tout mon être.

    — Je savoure la frustration que j’engendre chez toi.

    Salopard.
    Je crois que ça lui plait de me pousser à bout. Sauf qu’à cet instant, je n’ai plus une once de patience.

    — Putain, t’as plutôt intéressé à me prendre maintenant, sinon crois moi, je te fais vivre un enfer jusqu’à notre arrivée. Tu ne pourras plus entendre le son de ma voix tellement je t’aurais… Seigneur !

    Je m’apprête à continuer ma tirade d’invitation à me baiser dans l’urgence, lorsqu’il décide enfin à se manifester. Il place à l’entrée de mon corps, sa queue durcit par le désir. Ses mains se posent sur mes hanches relevées, lentement, mais sûrement, il me pénètre. Le plaisir est immédiat, comme si mon corps le reconnaissait, je le laisse prendre possession de moi sans résistance, appréciant ces sensations dingue, celles de la communion par le sexe avec une autre personne, ce moyen de ne faire qu’un avec elle. C’est le pied, de sentir l’individu qu’on désire et qui nous fait bander d’un simple regard bleu lumineux se mouvoir en nous avec une passion qui fait naitre au plus profond de vous, des sentiments bouleversant.
    Travis vient se perdre en moi, jusqu’à la garde, je sens derrière moi son corps tremblant.

    — Bordel à la dur Travis, ne te retient pas !

    Baise-moi une bonne fois pour toute et on en parle plus. Ai pitié de ce que tu as déclenché en moi !

    — Exigent ma parole !

    — C’est ta faute !

    — Tu ne vas pas te plaindre en plus, continue Travis, toujours amusé de m’énerver.

    Ce maudit connard ne bouge pas, je sens mon sexe palpité, et les muscles de mon corps se refermer sur l’érection de mon amant. Il a un sacré self contrôle sur lui. A sa place, je n’aurais pas pu m’imposer ça. Il se venge, de sa putain de jalousie. Le pire, c’est que j’adore ça.

    — BOUGE BORDEL ! je cris presque, frustré.

    Et il m’écoute enfin.