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Vampires et Rock Stars & Co - Page 58

  • Confessions d'un Ange de la Mort, Chapitre 1: Moi, et mon égo surdimensionné

    PROLOGUE

     

     

    Mon nom est.... Saryal et je suis un ange de la mort. Un ancien Archange. Pire que Satan, le Diable, en lui même, redoutable, et... incroyablement sexy. Je suis un peu narcissique je l'avoue, mais bon, pourquoi se mentir ? De plus j'ai jurer ma fidélité à Satan alors... mentir ne fait pas partie de mes spécialités.

    Mon boulot ? J'ai une liste, et je dois arrêter les « criminelles » de l'enfer.

    Non, je ne suis pas un flic comme on pourrait le croire, je vaut dix fois ce bon vieil inspecteur Gibson... ouais bonjours l’ego !

    Ma spécialité ? Les vampires. Les femmes vampires. J'ai tester un moment les mâles mais bon, après mettre fait torturer, tabasser, vider et j'en passe... les petits jeunes assoiffé de sang, non merci, je passe. Alors j'ai changé de... cible.

    Quoi de plus... excitant que de chasser des femelles ? Et puis, c'est un boulot avec ses avantages...

    Une femme qui est capable de vous arracher la tête en moins d'une seconde, quoi de plus sexy ?

    Non, non, je ne suis pas barjo, c'est l'humour d'ange de la mort. On s'y habitue.

    Je suis assez connu dans mon milieux. Depuis quatre cent ans quand même si je ne l'était pas !

    Je vous rassure, pour mon côté, moi je, moi je, je me fais suivre. Et oui, n'importe quel créature, vivante ou pas, éternel ou non, peut avoir un psy... et avec ce que je vois...

    Donc, je disais, je suis connu pour ma pratique et mon savoir faire... tellement que Satan, (serre les dents) me confie de temps en temps des petits stagiaires.

    En ce moment, j'en ai un d'ailleurs. Je le trouve un peu con. Mais bon, je fais avec. Je suis rémunéré en conséquence. Et je touche un sacrée pactole... D'ailleurs, je vais devoir aller bosser.

     

     

    CHAPITRE 1

     

     

    J'écrase ma cigarette sur la semelle de ma botte, (oui je fume, mais vu que je suis immortelle, je ne risque pas de cancer du poumon donc j'en profite) avant de sortir mon portable.

     

    -Stake ?... Ouais, c'est moi tu veux que sa soit qui d'autre putain ?... Pourquoi je t'appelle ? NON MAIS TU TE FOUS DE MA GUEULE BORDEL ????!!!!!.... Non ? ALORS SI C'EST NON... tu ne veux pas que je m'énerve ? BEN BOUGE TON CUL DE VIEILLE ET REJOINS MOI !

     

    Je raccroche, bon sang je suis immonde avec ce gosse, pourtant je l'aime bien, c'est un sacré tueur, il m'a aider l'autre jour à capturer une vampire sado maso enchaîner à deux de ses soumis... vampires, sinon ce n'est pas drôle. Deux grands mecs aussi baraqué que moi... Et ben.. je ne vous raconte pas les dégâts !

    Je soupire et regarde mon téléphone pour voir l'heure... si Stake ne se dépêche pas... on va rater le nom. Je sors aussi ma liste. Seigneur, au XXI siècles, Satan ne s'est toujours pas mis à jour,

    Vive la vieille liste de papier et good bye les tablettes numériques... Mais bon, cela fait son charme.

    De plus, ma liste est ensorcelé. Elle se modifie en fonction des actes de tout les vampires qui ont un casier judiciaire. Oui, comme chez les humains. Sauf que les délies ne sont pas les mêmes.

    En général, je ne suis pas censée tuer mes cibles. Sauf si elle essaie de me tuer. Comme Satan me dit souvent « Ce sont des femmes, elles ne savent rien faire à part des pipes »

    Je sors une autre cigarette, putain, sa se voit que le mec passe ses journées à s'envoyer en l'air, quand il fera ce que je fais à longueur de journées, pourchasser des nanas sans arrêt, se prendre des coups de crocs (pas que ce ne soit pas désagréable, mais bon, il vaut mieux que mes adversaires l'ignore) D'ailleurs, moi aussi, j'ai des crocs ! Mais elles ne me servent que de décors ou presque. Mais bon, sa aussi c'est une autre histoire.

    Je sens que ma liste vibre. Putain mais qu'est ce que fou Stake.

     

    -Saryal ?

     

    Je me retourne. Stake. Il baisse les yeux, visiblement, ma petite colère à fait son effet. Je tire une taffe avant de l'écraser comme la précédente

     

    -Ouais ?

     

    Je suis un bon comédien quand même... ma voix est glacial. Je sors ma liste et la montre à Stake.

     

    -Je suis désolé pour mon retard...

     

    -Stake, je m'en branle de tes excuses, si t'est trop occuper à baiser au lieu de bosser c'est ton problème pas le mien.

     

    Mon petit protégé ne croise pas mon regard. Je lève les yeux au ciel. Je dévisage Stake, il est jeune, un futur ange de la mort. Ses yeux ne changent pas encore de couleur... sa transformation n'est pas achever. Il lui faut qu'il reçoive du sang de Satan pour devenir un ange de la mort à part entière.

    Après, il deviendra comme moi.

     

    -C'est elle la cible ?

     

    Non, non, c'est le nom du prochain restaurant !

     

    -Bien sûr débile

     

    Je lui envoie un coup dans la tête

     

    -Aie !

     

    -Oh sa va ! Tu vas pas mourir !

     

    Stake soupire. Nous commençons à marcher. Je ne veux pas me téléporter. Je fais déjà assez flipper comme ça... Et puis, rien de pire que d'apparaître sans prévenir, on ne sait pas sur quoi on peut tomber. Comme l'autre folle et ses deux soumis...

    Je dois envoyer un message à mon psy... j'en ai besoin...

     

    -Qu'est ce qu'elle a fait ?

     

    Je soupire, la même chose que toute les autres

     

    -Elle tue. Et crois moi elle le fais bien.

     

    Je ferme les yeux. Depuis le temps que je l'attendais, je vais enfin pouvoir me venger.

     

    Moi, et mon égo surdimensionné

     


    Amheliie

  • Blood of Silence


     

    Amhéliie, Maryrhage

  • Perso : Chapitre 8


     

     

     

     

     

     

     

    Chapitre 8

     

     

     

    «Un jour nous anticiperons tout les obstacles»

     

    Syd Matters

     

     

     

     

     

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    Un mois vient de s'écouler, soit trente jours et des poussières... Je n'ai pas quitté Benjamin un seul jour, et il a fait de même avec moi. Ce n'est pas facile de supporter quelqu'un au quotidien à longueur de temps, ce n'est pas facile de me supporter moi, et de le supporter lui. Pourtant, je me surprends un petit peu plus chaque jour. Au bout de seulement deux semaines, j'étais à l'aise avec Benjamin, je ne voyais plus sa présence comme un affront, ni comme une obligation, mais plutôt comme un choix « adulte ».

    Nous ne sommes pas sortis beaucoup les sept premiers jours, établir des règles de vie commune n'a pas était un jeu d'enfant. J'ai découvert un Benjamin aussi têtu que moi. Parfois, j'ai l'impression de voir un vieux couple se disputaient. Deux personnes qui s'aiment depuis des années et donc les obstacles du passé n'ont pas réussi à les séparer. Chose rare à notre époque, je n'ai vu que cela au cinéma ou chez mes grands-parents. Je sais qu'un jour, je les envierai, j'envierai leur bonheur et leurs disputes, mais surtout leur amour...

    À une époque, j'en aurais rêvé de leur amour à tous les deux, et... Dans un très petit recoin de mon être, il se pourrait déjà que j'en rêve de nouveau...

    Je ne vois personne en dehors de Ben, sauf Caro, mais mon cher et tendre compagnon de l'été l'ignore. Comme il ignore encore, beaucoup de choses. J'ai aimé retrouver Caro dans ma vie, dans cette étape que je suis en train d'entreprendre. J'ai besoin de quelqu'un qui m'aide à ne pas craquer quand je trouve les demandes de Ben trop... Dur pour moi.

    Je repense à ce qu'il m'a dit l'autre jour quand nous étions, tous les deux dans la cuisine, chacun une bière à la main, lui en train de me prouver qu'un homme savait cuisiner aussi bien qu'une femme. Je ne pouvais m'empêcher de regarder son tatouage, celui qui m'intrigue tant. Je n'ai jamais osé poser la question sur sa signification. Est-ce qu'il me répondrait déjà ? Pas sur, vu comme je l'ai envoyé bouler sur le sujet « Pourquoi tu prends des médoc tous les jours, trois fois par jour ? ». Après un gentil, mêle toi de ton cul, il m'a rétorqué gentiment que la prochaine fois que je lui poserai une question, pour être d'égale à égale, il m'enverrait sur les roses. Bon sang, parfois, c'est pénible, son « égale à égale »...

    -Ca fait quoi de vivre avec moi ?

    Je lui avais simplement souri en répondant naturellement.

    -C'est bizarre.

    Il avait rit. Il ne devait pas s'attendre à ça.

    -Je pensais à un truc plus bâtons comme... C'est génial ou c'est merveilleux.

    -Je protège tes chevilles, tu sais.

    Je ne peux pas dire le contraire, on sait promis de ne pas se mentir, c'est bizarre de vivre avec un homme. Mon père est parti quand j'étais jeune, je n'ai aucun souvenir d'une présence masculine à la maison. Alors du jour au lendemain, se réveiller à côté d'un homme, se coucher tous les soirs dans le même lit que cet homme, le surprendre parfois nue en sortant de la douche... pas que sa nudité me dérange, je le reconnais maintenant, Benjamin est plus que bien foutus, s'il voulait, il pourrait se balader à longueur de journée à poil dans la maison cela ne me dérangerait absolument pas !

    Peut-être, l'une des seules choses pour laquelle, je n'ai pas mis longtemps à m'habituer, c'est bien le sexe avec lui.

    Bien que Ben est voulu qu'on « prenne » notre temps, émotionellement ce n'était pas possible pour moi. Déjà que l'avoir à mes côtés sans arrêt, ce n'est pas facile pour moi, il faut l'avouer, rester en plus chaste avec un tel... monument... C'était de la torture. On en devient rapidement accrocs.. J'en suis rapidement devenu accroc.

    Parce qu'il est... renversant au lit ? Absolument. A vingt et un an, il sait y faire. Je ne pense pas que coucher avec moi le dégoûte, souvent, c'est lui qui entame le processus en premier.

    Ben a très bien compris comment je marchais, il obtient tout par le sexe, bien qu'au début, je savais très bien que je n'aurais rien sans rien, et que je traînais des pieds pour le suivre dans ses aventures. Aujourd'hui, je fais tout de bon cœur, parce que cela ne me dérange plus, et parce que j'ai enfin compris qu'on n'était pas obligés de tout négocier au lit. Que parler était, du moins avec Ben, une arme encore plus forte que la nuditée.

    Nos ébats sont simplement dû qu'au désir et à l'envie.

    Et qui as dit qu'il ne savait pas utiliser sa langue, et cela n'a rien de sexuelle, je crois qu'en un mois, j'ai plus parl <span< pan=""> style="text-decoration: underline;"> <span< pan=""> style="color: #ff0000;">é qu'en un an. On passe notre temps à parler. Un peu de nous, mais rarement, on n'est pas vraiment entrée dans le vif du sujet, ce que je redoute un peu. Parce que je sais que s'il commence à parler de lui, je vais être obligé de parler de moi...

    Si on ne parle pas, Ben m'emmène faire des trucs les plus fou. Toujours que tous les deux. Cela fait partie de la mission « donne moi ton été » On ne voit personne d'autre. Bastien est fou de rage, il en arrive même à en vouloir à son pote...

    Mon pauvre si tu savais qu'en plus, je couche avec... il passerai un sale moment.

    Avec Ben, j'ai découvert par exemple, les sauts de plus de 10 mètres des falaises, j'ai cru le tuer la première fois, tellement je croyais y rester. Le con ! Mais aussi des « activités » moins dangeureuse comme le bénévolat. Je me doutais qu'il avait le cœur sur la main. Les personnes malades ou handicaper ne l'effraye pas. C'est bon à savoir. Ce mois-ci, il va rendre visite à un petit garçon, Drew, atteint d'une maladie orpheline, et qui est obligé de rester à l'hôpital. Sa mère qui travaille ne peut pas rester avec lui... Donc c'est Ben qui va le voir trois fois par semaine, une heure ou deux, et je l'accompagne.

    C'est émouvant de le voir aussi dévouer, et non craintif d'un individu différent.

    « Malade ? Je ne savais pas que c'était un critère de différence ? On est pas tous pareil ? » avait-t-il lancé à Drew.

    J'ai des journées bien remplis avec lui. Cela me fera drôle en septembre quand se sera terminée...

    J'aurais le choix, m'a-t-il dit, si je veux plus, si je veux plus, et toujours avec son air supérieur, il m'avait, et tu en voudras plus, je n'aurais qu'à le dire, et il resterait. Je ne sais pas encore... A vrai dire, c'est beaucoup trop engageant...

    Cela me plaît d'être avec lui, de passer mon temps avec et de le découvrir et d'apprendre de nouveau que la vie n'est pas

    Et qui me dit que cela n'est qu'une passade pour lui ? Qui me dit qu'une fois attaché à lui, il ne partirait pas ? Nous avons encore beaucoup d'obstacles pour envisager quelques choses de plus... Quelques choses qui pourraient, certainement, nous faire souffrir l'un l'autre.

    ***

    J'ai le visage caché sous mes mains, le souffle court et le corps en feu, en plus de la chaleur étouffante d'un après midi d'été, tandis que d'autres mains me chauffe encore plus.

    J'entends son rire vibrer contre ma peau, je dois être rouge écarlate par ce qu'il me fait.

    -Il... n'y a rien de drôle, je gémis.

    -Oh que si ma puce.

    -Non...

    Je sens de nouveau ses doigts entre mes cuisses. Ses caresses sont douces et appuyer, la où il faut, et je me mords la lèvre pour ne pas gémir plus.

    -Ne te cache pas le visage

    -Oh que si...

    -Et je fais comment moi pour t'embrasser ?

    Je souris quand je sens ses lèvres sur mes mains. Je les retire de mon visage.

    -C'est une vu plutôt plaisante non ? Lance Ben

    Sa bouche s'écrase contre le mien, un baiser long et possessif. Ma main vient glisser le long de son dos musclé, jusqu'à ses fesses, est-ce qu'un jour je vais pouvoir lui rendre autant la pareille ?

    -Mel... gémis-t-il quand ma main saisit son érection.

    -Tu ne vas pas me dire non ?

    -Si.

    Je lève les yeux vers lui, il déconne ?

    -Pourquoi ? Je demande-t-elle

    Il m'embrasse le haut du front.

    -Parce que Mademoiselle. On ne fait pas que ce que tu as envie, plaisante-t-il

    Je soupire. Non, on fait comme il veut-lui !

    -On n'est pas égale à égale

    -Je sais mais c'est pas grave.

    Son visage glisse à nouveau le long de mon buste, jusqu'à mes seins. Je le massacre s'il continue de me torturer de cette façon.

    Je me cambre quand il saisit entre ses lèvres l'un de mes tétons.

    -Ben !

    Il rit de nouveau, avant de s'arrêter.

    -C'est bon, j'ai compris.

    Je lui tends un préservatif, il sait que niveau protection, je suis rigide la dessus.

    Une fois mis, il trouve encore le moyen de me taquiner. Je le sens contre l'entrée de mon corps, ainsi qu'un sourire se dessiner sur son visage. Toujours aussi taquin ! Je le fusille du regard.

    -Oui ?

    -Tu attends quoi ?

    -Mais votre permission mademoiselle.

    -Oh mais tu l'as ! Va si !

    Un petit cri s'échappe de ma bouche quand il prend possession de mon corps. Taquin mais doué, le Benjamin.

    ***

    -Tu as déjà vu un coucher de soleil en haut sur les criques ?

    Je pose le rasoir que je suis en train d'utiliser. Assise sur le rebord de la baignoire, Ben vient m'y rejoindre, une serviette noué autour de la taille.

    -Ca fait pas un peu kitch ?

    Il se met à rire.

    -Un peu, mais c'est tellement beau. J'aime les couchers de soleil, cela dégage de merveilleux paysages. Et si tu veux, on pourra y rester pour regarder le ciel après...

    -Oui, c'est ce que je dis, c'est kitch.

    -Oh allez, Mel, dis moi oui...

    Je lui caresse la joue, il se fige. Pas habituer à une preuve d'affection venant de ma part. Mais tout arrive un jour.

    -Cela t'étonne ?

    -Un peu, je dois te l'avouer.

    -Tant mieux...

    L'espoir né dans ses yeux. Putain, il gagne toujours.

    -OK si demain, on reste ici.

    Ben se penche et m'embrasse rapidement.

    -D'accord l'ermite.

    Je le regarde choquer. Il avait promis de ne plus m'appeler ainsi !

    -Désolé... mon ermite !

    -Pfff

    -Boude, pas, ce soir, tu vas avoir ce que tu veux.

    -Ah bon ? Et c'est ?

    Qu'est ce qu'il me prépare encore ? Je me méfie sur ce coup là.

    -Tu vas en savoir plus sur moi. Comme tu voulais.