Confessions d'un Ange de la Mort, Chapitre 3: Avec moi, mon psy devrait aller consulter un autre psy...
Je joue avec mon paquet de cigarettes. J'ai les nerfs, pourquoi dans les salles d'attentes on ne peux jamais fumé ? C'est vraiment con... fumer justement nous permet d'attendre !
Pff... je déteste attendre, attendre c'est perdre du temps...
Je perds mon temps le cul assis sur l'un des nombreux canapés de la salle D'ATTENTE du psy... Heureusement que j'en ai VRAIMENT besoin de celui là sinon... je m'en passerait bien !
Je finirais taré sans lui..
Je souris, je suis déjà taré ! Même si je dois reconnaître que je le suis un peu moins depuis que je vois régulièrement mon Freud
Je consulte ma montre avant de jurait. Bon sang, il n'est jamais à l'heure celui là ! J'ai autre chose à faire qu'ATTENDRE !!
Je ferme les yeux pour essayer de passer le temps, mon psy me réveillera si jamais je m'endors, ce qui serait un miracle... Je ne dors pas souvent en ce moment... Sa me fait chier d'ailleurs ! J'adore dormir. J'aime ça presque qu'autant baiser. Dormir sa repose, baiser sa détend, les deux vont ensemble... Sauf que je ne dors jamais avec les filles que je me tire. JAMAIS ! Trop d'emmerdes, surtout si ce sont des humaines.
Les humaines sont parfois stupide. Tu passes une nuit de fou, tu prends ton pied comme jamais, et le lendemain elles gâchent tout avec leurs questions à la con
« C'est quoi ton nom ? »
« Tu me files ton numéro ? »
« Tu part déjà ? »
Ben oui ! Non mais sérieux elles croient quoi les nanas, que sa y est vu qu'on les a baiser on va automatiquement se marier ?
J'éclate de rire, ben dis donc, si à chaque fois que je mettais envoyer en l'air avec une femme, je l'avais épouser, j'aurais dix harem, et des millions de dollars de pension de divorce à distribuer chaque mois...
Les coups d'un soir c'est pas mal... mais faut savoir qu'il faut TOUJOURS se tirer avant le lever du jour, avant que ses demoiselles te fassent le coup des questions débiles pour te retenir.
Une fois qu'on la compris, on a plus de soucis...
Mon genoux tape nerveusement sur le sol... bon sang ce que je peux être tendu...
Ouais... je devrais m'envoyer en l'air avec un ou deux femmes sa irait sûrement mieux après...
Non, je ne prends pas les femmes pour des jouets... jamais de la vie je ne me permettrais, je les respecte trop pour sa. Même si elles sont chiantes, et que seuls celle qui sont doté d'un vagin peuvent les comprendre, je l'est aime trop pour les traiter comme des chiennes.
Une femme est une femme. Avec ses multiples talent. Et ses défauts, ses NOMBREUX défauts !
Remarquez que je parle des femmes au pluriel, je suis pas fière de le dire... mais je suis un mec qui aime les femmes, pas une femme, les femmes. Un jour peut être j'aimerai UNE femme... mais dans longtemps...
Je sens mon cœur se serrait à cette idée... Faut que j'arrête de faire celui qui n'a jamais aimer... car c'est faux... j'ai déjà aimer comme un damné... une seule fois, que je regrette amèrement.
J'entends la porte s'ouvrir et j'ouvre les yeux à mon tour.
Mon psy et une femme que j'ai déjà vu plusieurs fois sortent. Elle vient pour des tocs, l'autre jours, je sais c'est pas bien, mais je le fais quand même, je n’emmerder, j'écoutais donc leur conversation et la charmante dame expliquer à Freud que se laver dix fois dans la journée l'aider à se purifier l'esprit, je vous raconte pas le fou rire que je me suis pris.
Y'en a qui devrait aller ce faire soigner... non, interné... bref... ses gens là ne sont pas fini, ils auraient dût passer un ou deux mois de plus dans l'utérus de leur mère pour finir leur développement intellectuelle parce que bonjour les catastrophes !
-A la semaine prochaine Lysa
Freud, plus connu sous le nom de Docteur Henry Waite, dit Freud, est un homme d'une cinquantaine d'années, les cheveux gris, les lunettes, toujours vêtu d'une chemise et d'un jeans, à la cool. Il a bien raison. Moi aussi je m'habille toujours cool.
Il se dirige vers moi et je me lève. Comme toujours il me tend la main et je fais de même.
-Bonsoir Saryal
-Bonsoir Doc
-Si vous voulez bien me suivre...
Il me montre la porte de son bureau, pas besoin, sa fait quatre ans que je viens le faire chier. Je connais parfaitement le chemin.
J'entre. Freud fait de même. Je reprends vite mes bonnes vieilles habitudes, j'enlève ma veste en cuir et mes lunettes de soleil.
Et oui, j'en porte même à l'intérieur dans des endroits où je ne me sens pas forcément à l'aise.
Pourquoi ?
Parce que c'est assez gênant quand mes yeux changent de couleurs en fonctions de mes émotions et que toute les personnes dans la pièce vous observe comme si vous étiez le nouveau E-T
Franchement, j'ai la gueule d'E-T ?
Non... alors pour réglé le problème, je met des lunettes de soleil comme ça on me fait pas chier !
Je dépose ma veste au pied du canapé, enfin, du fauteuil, je ne sais pas vraiment si on peut appeler sa comme ça, vu qu'on doit d'allonger dessus... bref.
Freud est à son bureau, il sort mon dossier, ouais, il est énorme. En quatre ans, j'en ai raconter des choses ! Je ne comprends toujours pas pourquoi Freud ne s'est pas tiré une balle avec moi..
Ah oui, parce que je lui est jeter un sort, et il pense qu'être un ange de la mort c'est normal.
Devrais aller consulter un psy mon psy !
Je m'allonge sur le machin qui sert à ça, quand Freud s'assoie dans son fauteuil.
Il croise les jambes et décapuchonne son stylo à plume.
-De quoi voulez vous parler aujourd'hui Saryal ?
Hum... par où commençait ? Ah oui, les deux folles que j'ai arrêté adepte du sado maso. Sa me tue les gens comme ça ! Ils ne peuvent pas faire comme tout le monde et avoir une vie sexuelle NORMAL ?! Me traumatise ça !
-J'ai arrêter deux femmes cette semaine pour le boulot
-Et ?
-Et... disons que je l'ai est interpeller toutes les deux dans des situations plutôt gênante.
-Pour elles ou pour vous ?
-Pour moi !
Freud éclate de rire
-Qu'est ce que vous allez me sortir Saryal...
-Le pire que mes rétines peuvent supporter dans ce genre de moment
-Racontez moi.
J'inspire, et je me retiens d'éclater de rire. Putain qu'est ce que je peux être con !
-Je l'ai est arrêter alors qu'elles s'envoyaient en l'air
Freud éclate de rire une nouvelle fois
-C'est gênant pour vous ?
Je me frotte le visage.. ; disons que...
-Oui ! Disons que voir un couple baiser normalement OK, pas de soucis mais s'envoyaient en l'air comme des sauvages non merci
-Et qu'est ce que vous appelez s'envoyaient en l'air comme des sauvages ?
Putain, toujours des questions celui là !
-Elles sont toute les deux adepte du SM, et...
Nouveau fou rire de la part de mon psy... le connard ! Sa ne fait rire que lui ! Je croise les bras sur ma poitrine. Vexé.
-Ah Saryal, même au bout de dix ans, vous ne vous en remettez toujours pas !
Et comment ? Je ferme les yeux... qu'elle atteinte à ma virilité j'ai eu ce jour là !
-NON ! C'est un drame pour moi...
-Et voir ses deux femmes agir de la sorte vous on perturber ?
ET COMMENT !!! Je me suis revu dans la même situation... ligoté comme une merde à la merci d'un harem de sorcières sado maso... vous raconte même pas comment cela c'est terminé ni comment je ne baise plus en groupe...
Je crois que j'ai encore les marques des coups de fouet ! Putain sa excite qui de se faire fouetter ?! PERSONNE croyais moi ! SA FAIT UN MAL DE CHIEN !
-Ouais...
-Saryal... un jour, vous arrêterez de faire une fixation sur ce qui vous êtes arriver et ce genre de pratique...
-Ouais un jour...
-Vous voulez en parler davantage ?
Pour qu'il se foute de ma gueule, non merci.
Je secoue la tête.
-D'accord... dormez vous Saryal ?
Et merde ! Putain PAS CETTE QUESTION !!! même à moi je ne me la pose pas !
-Alors ?
Mais c'est qu'il veut une réponse en plus ?!
-Oui...
-C'est vrai ?
-Non...
Je soupire comment je pourrais ? Elle est toujours là...
-Vous rêvez de Rayne c'est ça ?
Putain...
CONFESSION : Aimer les femmes et pas UNE femme !
Amheliie