Slaves Tome 3 : Révélation, EXTRAIT (2)
Hey tout le monde!
Ce soir pas de chapitre de VRS, cette semaine non plus, on s'excuse pour cette petite pause, entre les vacances, et la correction des footeux qui est très longue, (gros pavé le bébé, plus de 700 pages) On a hâte avec vilaine qu'il sorte !
Mais on va passer "quelques jours" avec SLAVES, et deux gros extraits vont être publié, ce soir, et vendredi.
Quelques autres petites infos aussi sur l'avancement du tome, j'en suis à 9 chapitres sur 25, j'espère d'ici la fin du concours sur le tome 3.5, j'aurais atteint les 10 chapitres (et plus !!! ^^) et qu'il sera fini d'ici la fin de l'année.
Mercredi, j'annoncerais la date de sortie. (Enfin !! J'ai été super vilaine de ne rien dire^^)
J'espère que le tout vous plaira, n'hésitez pas à donner votre avis ^^
Bonne lecture ;)
Bizz
Amheliie
PS : l'extrait qui suit n'est pas la version final. Il risque d'y avoir quelques petites modifications lors de la relecture.
– (…) Nous sommes des vampires ne l’oublions pas, nous aimons le pouvoir. La conquête, les plus âgés d’entre nous ont connu les siècles de découvertes. Se taper dessus pour prendre le continent de l’autre, c’est bien l’une des rares choses qui nous fassent encore vibrer.
– Tu oublies les cuisses de ta femme Aldéric.
Nos trois regards se tournent vers Bastide qui décide enfin de nous rejoindre dans la conversation. Les trois hommes se mettent à rire, partageant un moment de complicité que seul un membre du sexe opposé peut comprendre.
Drac tape l’épaule de son bras droit, en lui donnant de bonnes claques.
– Mon pauvre Henry, les cuisses de ma femme ne me font plus vibrer comme il y a trois cents ans. Tu ne vas pas me dire que celles de la tienne t’excitent toujours autant.
Bastide hoche la tête en affichant un air décontracté, première fois de la soirée d’ailleurs.
– Quand je l’a prend par derrière oui, comme ça je n’ai pas à la voir ni à faire semblant de l’écouter pendant qu’on baise.
Drac lève sa main et vient taper dans celle de son bras droit. Henry se tourne ensuite vers nous, et affiche un air moqueur.
– Je crois que le seul qui prend son pied avec sa femme c’est bien Dead.
Bastide me jette un coup d’œil, je lève les yeux au ciel, je vis depuis bientôt deux ans, avec une communauté de mâle vampire, qui bien que portant un costume, savent parler comme des Chartier en petit comité.
– Je n’ai pas à me plaindre, renchérit Dead, habitué à ce genre de remarque.
– Mec c’est parce que tu l’aimes ta femme, on en rediscutera dans cinquante ans, quand elle te bassinera pour la mettre enceinte et avoir des vierges à boire plutôt que ta propre carotide.
Je serre la main de mon amant, en priant pour qu’il parle à ma place, soudainement gêner, la conversation est vraiment intime je trouve.
Dead, comme à son habitude, maitre de ses sentiments, trouve de quoi renchérir.
– J’aime ma femme, et je l’ai épousé parce que je l’aimais « mec ». T’as épousé la tienne et tu l’as transformé seulement parce qu’elle te suçait bien et qu’à l’époque, l’avoir comme épouse te permettait d’avoir une place importante dans la société.
Bastide dévisage mon vampire, son verre de Whisky à la main, abasourdie que Dead est pu lui sortie ça comme ça. J’ai comme l’impression que ces deux-là s’apprécient parce que Drac apprécie Dead. Je m’attends à devoir affronter une série de rentre-dedans, très vampirique et macho au plus haut point, sur la façon d’aimer sa femme ou pas… mais le français me surprend.
– Exact « mec ». Décidément, tu me le ressortiras sans cesse !
– Tu ne me branchais pas sur ma femme.
Le français termine son verre d’alcool d’un trait, en lançant un clin d’œil à Dead.
– Tu n’avais pas de femme encore, t’avais que des histoires sans lendemain. Dead le serial-baiseur, ce connard en a fait jouir plus d’une pendant qu’on suppliait la notre de bien vouloir nous laisser la baiser sans lui faire de gosse, dans une autre vie j’aurais aimé être gay…
J’interromps le vampire sans réfléchir, ses remarques « m’amusent », ça façon de parler de la famille en public, prônant l’égalité, et l’augmentation de la population humaine, alors qu’en privée, ça à l’air d’être un drame.
– Pour des hommes d’engagements, vouloir fonder une famille n’a pas l’air de vous tenter.
Bastide me foudroie du regard, je crois qu’il n’aime pas qu’on le contredise. Aldéric, calme cette soudaine tension, en parlant :
– Faith, tu as vu comment est Charlotte ? Ou même Marjorie ? Est-ce que tu aurais envie de faire un enfant avec elles ?
Je souris, ma bonne compassion me tuera un jour.
– Elles changeraient peut-être non ?
Drac et Bastide se mettent à rire, et je les comprends, je suis certaine que RIEN ne pourra faire changer ses glaçons.
– Non, Charlotte n’a pas changé en trois cents ans. Elle ne changera plus. Je préfère me préserver d’une descendance élevée par ma femme…
– T’as qu’à saisir les Tribunaux, plaisante Dead.
Je repense à notre sujet de conversation sujet avant que les femmes et le sexe viennent altérer les explications du dirigeant français Drac. Ce sont bien des hommes, car lorsqu’il s’agit de cuisses, rien d’autre n’est plus important.
Ah ses hom… vampires !
Amheliie ©
Commentaires
J'ai trop hâte :D!!!
J'ai tellement hâte de le lire ❤️❤️
ouiiii mon dieu encore un super extrait , les filles bous gérez vraiment je sens qu'il va y avoir des tensions! j'adore les petits pics qu'ils se lancent entre eux et avex ça les caract§des explosifs de faith et dead
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